Un nouveau rassemblement prévu à Angers ce samedi 18 novembre pour la paix entre Israël et la Palestine
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Un nouveau rassemblement prévu à Angers ce samedi 18 novembre pour la paix entre Israël et la Palestine

Comme chaque samedi désormais, plusieurs organisations syndicales appellent les angevins à se rassembler afin de réclamer un « cessez-le-feu immédiat » dans le conflit qui oppose Israël et la Palestine.

Manifestation Palestine-Israël

Plusieurs centaines de personnes se rassemblent chaque samedi à Angers © Archives Angers.Villactu.fr

Après plusieurs samedis à se rassembler place du Ralliement, les organisations syndicales (Unsa, CGT, FO, UFSU, Solidiares, Unef, MNL et VL) appellent les angevins à se retrouver ce samedi 18 novembre place Leclerc à partir de 15 heures afin de demander « la paix et un cessez le feu immédiat » entre Israël et la Palestine.

« Depuis plus d’un mois, l’armée israélienne soumet la Bande de Gaza à des bombardements d’une violence inouïe et à un blocus total qui prive la population d’eau, de nourriture, de médicaments. Les hôpitaux ne sont plus en capacité de prendre en charge les blessés, faute de moyens. 10 000 palestiniens sont morts (dont 60 % sont des femmes et des enfants) sans compter ceux qui sont sous les décombres », avance l’intersyndicale.

Les syndicats « expriment leur plus grande inquiétude face à la dégradation de la situation dans les territoires palestiniens et en Israël. Horrifiées par les actes guerriers et le nombre de morts qui ne cesse d’augmenter, elles appellent à l’arrêt des bombardements, au cessez-le-feu immédiat, à la libération des otages et à la levée du blocus contre Gaza ».

« Une très grande majorité de victimes sont des civils, qui ne trouvent absolument aucun endroit où se réfugier. Rien ne peut justifier ces attaques qui frappent à l’aveugle. Qu’on les qualifie d’actes terroristes ou de crimes de guerre, les massacres de civils israéliens le 7 octobre par le Hamas ne justifie pas le massacre de la population palestinienne, ce qui ne peut qu’entraîner une spirale infernale dont seront victimes d’abord et avant tout les travailleurs et leur famille dans le monde », concluent les syndicats.