La résidence Arceau a été inaugurée après deux ans de travaux
Urbanisme

La résidence Arceau a été inaugurée après deux ans de travaux

Le vendredi 3 février dernier, la résidence Arceau, établissement situé à Belle-Beille proposant un accompagnement à des personnes en situation de handicap, a été inaugurée après deux ans de travaux.

Jean-Marc Verchère, maire d’Angers, était présent lors de l’inauguration de la résidence Arceau – © Eline Vion

Dans le cadre du Nouveau Programme National de Renouvellement Urbain (NPNRU) du quartier de Belle-Beille, Angers Loire Habitat a inauguré, vendredi 3 février dernier, en compagnie du maire d’Angers, Jean-Marc Verchère, la réhabilitation de la résidence Arceau.

Une résidence favorisant l’accompagnement

Située rue Louis Dolbeau, en plein cœur du quartier de Belle-Beille, la résidence Arceau est un foyer qui accompagne les adultes en situation de handicap physique ou cérébo-lésés. Datant de 1955, la résidence est composée de deux bâtiments de 5 étages et comporte 27 logements.

Appartenant au groupe VYV3, la résidence est aussi une solution d’hébergement individuel ou partagé permettant aux personnes handicapées vieillissantes ou aux travailleurs handicapés d’avoir un accompagnement spécifique favorisant l’autonomie dans la vie quotidienne.

La fin de deux ans de travaux

La rénovation a permis de restructurer les locaux grâce notamment, à la création d’une coursive intérieure reliant les deux bâtiments. Des améliorations dans les parties communes et dans les logements des résidents ont été effectués pour les mettre aux normes et améliorer leurs performances thermiques.

Le programme de réhabilitation avait pour but de proposer un lieu de vie adapté et sécurisant pour les résidents, améliorer leur vie à domicile et favoriser leur intégration sociale tout en profitant de prestations de confort grâce à une équipe pluridisciplinaire d’une quinzaine de professionnels.

Démarrés en juillet 2020 et achevés durant l’été 2022, les travaux de la résidence ont coûté deux millions d’euros et ont été subventionné à hauteur de 12 % par l’Agence nationale de renouvellement urbain (ANRU).

Par Eline Vion.