Politique

Rives Nouvelles : De « la malhonnêteté intellectuelle » selon la minorité

Selon Roselyne Bienvenu, membre de l’opposition municipale, intégrer la reconstruction de la base d’aviron au projet de réaménagement des rives de Maine relève de « la malhonnêteté intellectuelle ».

Pour Roselyne Bienvenu, « n’est autre qu’une promesse de campagne de 2008. Un appel à candidature pour le choix d’un architecte a été lancé en 2008 et ensuite plus rien… jusqu’à l’approche des élections municipales de 2014 ! ».

« Le Maire utilise la base d’aviron comme un satisfecit pour le projet Rives Nouvelles et le comble de tout ça, c’est qu’il rame pour convaincre », ironise la conseillère municipale angevine.

Suite à ces critiques, Michel Houdbine, adjoint aux sports et à l’éducation, a réagi par un communiqué à ces aux propos.

« Si cela n’était pas un trait de plus en plus marquant de l’opposition municipale, les déclarations caricaturales de Madame Bienvenu prêteraient à rire » commente Michel Houdbine.

« Comment Madame Bienvenu peut-elle ainsi insulter les porteurs de projets de la base d’aviron en tentant une polémique bassement politicienne ! Qu’énerve ainsi Madame Bienvenu, que le projet avance ?  Que les futurs utilisateurs en sont très satisfaits ? Que le projet architectural s’insère merveilleusement bien sur la rive ? Que nous tenions nos engagements ? N’en déplaise à Madame Bienvenue, le projet Rives Nouvelles intègre totalement le développement des activités nautiques. Je l’invite à relire ou à lire peut être le plan guide du projet où elle y trouvera des éléments d’explication sur la reconquête de la Maine. D’ailleurs le travail de l’équipe Grether avec l’architecte Rolland a été très bénéfique pour le projet en l’insérant mieux encore dans le paysage.
Non, décidément, l’opposition municipale est désormais caricaturale dans ses critiques. Après la place du Ralliement hier, tout ce qui est fait par la Ville est mauvais, néfaste, dangereux ! Franchement, les Angevins méritent mieux comme débat politique que ces minables critiques
» conclut Michel Houdbine.